Adopter en maison de retraite, un acte militant

Les maisons de retraite pour chiens et chats sont des endroits idéals pour procéder à une adoption. Ces centres de prise en charge sont des lieux restreints où la place est limitée. Il est préférable ainsi d’adopter dans ces refuges animaliers afin de libérer de la place et donner une chance à un autre animal dans le besoin. Dans ces refuges, la priorité est de prendre soin de ces chiens et de ces chats ainsi que d’assurer leurs éducations. Pour avoir un animal de compagnie, préférer les centres animaliers plutôt que les animaleries où la vente prime avant que le bien-être de l’animal. Cela aussi afin de réduire la mauvaise manie d’abandonner des animaux par caprice et au moindre changement d’humeur. Il faut prendre en cause, la valeur de la vie de ces animaux et de ne plus les considérer comme une chose.

Les animaleries à bannir

Le business de chiens et de chats restent actuellement un marché très prisé. Ces animaux sont devenus des marchandises où le vendeur s’approprie tout le bénéfice obtenu. En acheter dans une animalerie signifie accepter toutes les formes de tortures infligées à ces animaux. Les chiens et les chats sont vendus en quantité énorme et le plus grand problème qui en résulte reste le devenir de ceux qui ne sont pas vendus. Donc, les animaleries sont loin de là le lieu idéal pour s’approprier un animal. Préférer les maisons de retraite où l’on n’achète pas mais on « adopte » l’animal.

Les choisir selon le feeling

Aux soins du personnel des maisons de retraite, ces animaux sont souvent destinés à l’adoption. Avant de procéder à une adoption, le responsable d’une maison de retraite passe au crible les conditions nécessaire afin qu’un animal soit adopté par un particulier ou un centre hospitalier quelconque. Qu’ils soient moches, laids, jeunes ou vieux, le critère pour bien choisir son chat ou chien c’est le feeling qui s’installe au cours du contact La beauté extérieure reste donc une condition secondaire. Adopter dans un refuge pour animal, c’est l’envie de vouloir connaître l’animal afin de d’avoir une complicité avec celui ou celle-ci.